Explorer l’intersection

Explorer l’intersection

seq-un-break-chez-maryse-1
seq-un-break-chez-maryse-2
seq-un-break-chez-maryse-3
seq-un-break-chez-maryse-4
seq-un-break-chez-maryse-5
seq-un-break-chez-maryse-6
seq-un-break-chez-maryse-7
seq-un-break-chez-maryse-8
seq-un-break-chez-maryse-9
seq-un-break-chez-maryse-10
seq-un-break-chez-maryse-11
seq-un-break-chez-maryse-12
seq-un-break-chez-maryse-13
seq-un-break-chez-maryse-14
seq-un-break-chez-maryse-15
seq-un-break-chez-maryse-16
seq-un-break-chez-maryse-17
seq-un-break-chez-maryse-18
seq-un-break-chez-maryse-19
seq-un-break-chez-maryse-20
seq-un-break-chez-maryse-21
seq-un-break-chez-maryse-22
seq-un-break-chez-maryse-23
seq-un-break-chez-maryse-24
seq-un-break-chez-maryse-25
seq-un-break-chez-maryse-26
seq-un-break-chez-maryse-27
seq-un-break-chez-maryse-28
seq-un-break-chez-maryse-29
seq-un-break-chez-maryse-30
PlayPause
Shadow

Octobre 2020, Paris. Nos cellules 1. Un break chez Maryse.

Délicate imposture
Être à soi
Rien qu’au tout
Disparaître et redire
c’est pour toi tout ce flou.

Hélène Beilvaire, extrait du livret.

Afficher/masquer le bavardage...
Maryse, c’est Maryse Bastié. On ne sait pas trop qui est cette fille de l’air, à part que son nom est énoncé d’une voix chantante à Paris dans la ligne 3a du tram du côté de Bercy, un arrêt au milieu de nulle part. C’est le genre de lisière urbaine qui nous inspire régulièrement, Hélène et moi (voir Instructions aux combattantes, une précédente expérimentation commise l’an passé dans une zone proche). Cette fois, l’impro en mouvement rejoint les mots de la danseuse même, offrande rare, et mes photos rejoignent l’envie du livre. Une fois mixé ça donne ça, premier épisode publié d’une suite d’explorations communes intitulée Nos cellules.

PS 1. À Lyon aussi il existe un arrêt de tram éponyme, vu que la malheureuse Maryse Bastié est morte en vol à Bron… Mais son nom y est associé à Jean XXIII, tout se complique et l’on s’égare.
PS 2. La règle du jeu de départ était rien qu’une nouvelle variation sur Chat perché, on voit une nouvelle fois à quoi peut mener cette plaisanterie.