On a deux vies n’a pas vocation de vitrine de promo des réalisations finales. Ici l’ambiance est plutôt celle du laboratoire, des prises de risque, hésitations, expérimentations et ratés instructifs !
La première allusion à mon work in progress La gueule de l’emploi avait été pour montrer les tâtonnements vers l’instant « t », celui du portrait retenu dans une séance (c’était là). Aujourd’hui ce sera plutôt une galerie des vocations ratées, des vies qu’on n’a pas eues. Doublement pas eues, ce sont en effet de très probables refusées du projet final, des gens qui ont généreusement posé avec plusieurs outils ou même pour des métiers imaginaires différents — et il a bien fallu ne garder qu’une seule photo par personne, choix parfois évidents, mais d’autres fois plus déchirants. Ce sont certaines de ces éliminées que je montre ici, avant même que la sélection officielle ait vu le jour, comme une revanche des perdants !
Pour une explication claire et nette du projet, vous vous reporterez, ailleurs sur mon site, à la présentation officielle de La gueule de l’emploi… Celles et ceux qui trouvent les refusées meilleures que les admises peuvent toujours m’écrire pour défendre leur point de vue…
[Edit octobre 2018] Attention, nouveau titre ! Nous avons renoncé à
La gueule de l’emploi pour éviter toute confusion avec un (excellent) film documentaire homonyme, et c’est l’occasion de coller un peu mieux à la composante imaginaire de ce projet…
[Edit décembre 2019] Mutation rétroactive : ce post était un genre de précurseur qui rejoint la nouvelle rubrique
Salon des refusé(e)s !